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Helena Platte
Marketing/Relations Presse
+49 (0) 5204 99 55 330
Les Maisons Voegelé maîtrisent l'ossature bois depuis 40 ans avec plus de 1 000 maisons réalisées en Alsace. Depuis 2011, une soixantaine de maisons passives ont été construites, dont 12 certifiées PassivHaus Institut. En 2016, leur maison témoin écologique « Chloé » devient le premier bâtiment français ayant été certifié PASSIF PLUS par le PassivHaus Institut. Chloé est également la première maison en ossature bois à avoir été labellisée par la Fédération Française de la Construction Passive.
Précurseurs en France, l’entreprise se pose donc en tant que leader sur le secteur, avec un bureau d’études proposant les dernières innovations énergétiques et écologiques.
Associés avec B. Conception, Marion Stenger architecte D.E., Maisons Voegelé forment un bureau d’études, de conception et de réalisation de maisons individuelles performantes en ossature bois, allant du BBC au passif.
L’objectif : concevoir des maisons de qualité, peu gourmandes en énergie, performantes et agréables à vivre, tout en respectant au mieux l’environnement.
Les caractéristiques de la construction passive :
Les avantages de la construction passive :
Sur les sites http://www.lamaisonpassive.alsace et www.maisons-voegele.com il est possible de suivre en direct les consommations de la maison.
Zoom sur une réalisation en Alsace : un minimum énergétique pour un maximum d’économie
C’est à Scherwiller, petit village typique du centre alsacien, que cette maison à ossature bois signée Maisons Voegelé se situe, entre une rivière et une chapelle classée monument historique.
La situation du terrain, à l’ombre côté chapelle et à proximité immédiat de la rivière qui se trouve en contre-bas, ne prédisposait pas à la création de fondations. En effet, compte tenu d’un ensoleillement idéal recherché (l’apport solaire étant indispensable en hiver pour une maison bioclimatique et passive), il a donc été décidé d’implanter la maison au plus proche du cours d’eau afin de bénéficier d’un maximum d’ensoleillement, et donc de calories gratuites. De plus, il fallait préserver le mur de soutènement entre le terrain et la rivière avec un procédé non invasif, laissant le sous-sol intact.
Le concept d’un radier isolé par panneaux JACKODUR® était la seule solution évidente, à la fois compte tenu des contraintes d’intégration et des performances recherchées.
Gilles Guiot précise : « Dès que l’on peut construire avec ce procédé, nous le faisons. Le seul inconvénient est de ne pas avoir de vide sanitaire, ce qui est culturellement parfois compliqué pour les français. Avec la référence du standard allemand JACKON Insultation, nous parvenons cependant à convaincre les propriétaires, notamment grâce à la réputation établie de cet industriel passionné.
La méthode de construction JACKODUR®, qui combine isolation thermique et système de coffrage, permet de réaliser en même temps la fondation (gain économique et de temps) et l’isolation du radier thermique, sans pont thermique. C’est aussi un excellent moyen, grâce au radier béton qui est ensuite réalisée sur l’isolation, de disposer d’une inertie capable de conserver la chaleur en hiver et la fraicheur en été.
Il faut aussi préciser que la large gamme de dimensions et d’épaisseurs disponibles chez JACKON Insulation, nous permet de répondre à tous les cas de figure, toujours en réalisant des constructions 100 % sur-mesure, selon les souhaits des maitres d’ouvrage ».
Focus sur JACKODUR® Atlas
Les éléments à surface lisse sont constitués de mousse rigide de polystyrène extrudé haute densité (XPS), fabriqués selon la norme EN 13164. Les panneaux de surface présentent une feuillure alternée pour un assemblage breveté par simple emboîtement. Ils sont proposés en 12 épaisseurs disponibles de 100 à 320 mm.
Helena Platte
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